&quot; Black Star forever you will be a Shinning Star &quot;

23 février 2012

Les gens ont rarement la même vision de la

Les gens ont rarement la même vision de la Saint-Valentin, tout simplement car chacun n'a pas le même rapport à l'amour. Tout d'abord il y a ceux qui s'en fichent, ceux à qui l'amour n'évoque rien, si ce n'est un roman ou un film. La Saint-Valentin ne leur fait ni chaud ni froid, c'est à peine s'ils connaissent la date. On retrouve ensuite ces gens amoureux d'une personne qui les aime en retour, et qui célèbrent cette fête le sourire aux lèvres, les yeux étincelants. Ce jour étant "la fête des amoureux", ils ne peuvent pas se permettre de ne pas la célébrer. Eux, voient la Saint-Valentin comme l'occasion de rappeler, au moins un jour dans l'année, que l'amour est beau, quoi que l'on en dise, que c'est grâce à lui que la Terre tourne, et que de ce fait, il mérite bien une place spécialement pour lui dans le calendrier. Ce n'est pas pour autant le seul jour de l'année où l'ont doit prouver à quelqu'un qu'on l'aime.

Vous penserez peut-être que je ne suis pas réaliste mais pour la St Valentin est une fête purement commerciale. Alors certaines mauvaises langues diront que les seules personnes qui disent ça sont des célibataires anticonformistes. Mais j'ai raison. La St Valentin impose à tout les amoureux de se voiler la face un jour par an. La St Valentin ferme les portes à ceux qui n'ont personne qui veulent être tranquille le 14 février, sortir avec des potes, et faire leur vie. On dirait que quand on arrive au 14 février c'est l'évênnement du siècle. Comme si on allait tous devenir heureux d'un coup d'un seul.

CHUUUT...

La St Valentin restera toujours pour moi une porte fermée au véritable amour, car pour aimer, pour faire plaisir à notre moitié nous n'avons pas besoin d'un jour spécial. Quand tu es à côté de celui que tu aimes, tout les jours deviennent spéciaux.

Posté par OphelieSegarra à 14:57 - Commentaires […] - Permalien [#]

Tags: anticonformisme, la st valentin

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23 février 2012

Quant à moi, ni guéri ni désintoxiqué, j'étais

Quant à moi, ni guéri ni désintoxiqué, j'étais victime de la même attraction. C'était si douloureux de le revoir. En me quittant, il avait emporté tout ce qu'il y avait de solaire en moi : mes espérances, ma confiance, ma foi en l'avenir. Il avait asséché mon existence la vidant de ses rires et ses couleurs. Il avait surtout étouffé mon coeur, lui enlevant toute possibilité d'aimer à nouveau. A présent, ma vie intérieure ressemblait à une terre brulée, sans arbre et sans oiseau, à jamais figée dans le froid de Décembre. Je n'avais ni appétit ni envie, hormis celle de me cramer quotidiennement les neurones à coup de médicaments pour diluer des souvenirs trop difficiles à affronter.

Posté par OphelieSegarra à 14:41 - Commentaires […] - Permalien [#]

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23 février 2012

L'Actualité, ça n'éxiste pas, ça ne veut rien

L'Actualité, ça n'éxiste pas, ça ne veut rien dire. L'actualité ce sont des gens. Des milliards de gens qui rient, qui pleurent, qui souffrent et qui tombent amoureux.

L'un des aspects les plus étranges de la vie est qu'elle continue à tracer sa route, sans se soucier que votre monde à vous subisse des transformations, des déformations, voire qu'il soit en train d'exploser. Un jour, vous avez des repères, une voie. Le lendemain, vous êtes perdu. Et malgré tout, le soleil continue à se lever, les nuages à s'amonceler et à passer dans le ciel, les gens à faire leurs courses, les chasses d'eau à se vider et se remplir, et les stores à monter et descendre. Ainsi, vous comprenez que, pour l'essentiel, la vie, la mécanique implacable de l'existence ne vous concerne pas une seule seconde. Elle poursuivra sur sa lancée, bien après que vous aurez sauté dans le vide. Bien après que vous serez mort.

Posté par OphelieSegarra à 14:27 - Commentaires […] - Permalien [#]

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23 février 2012

S i un jour on me demandait qui est mon modèle

S i un jour on me demandait qui est mon modèle dans la vie, c'est sans hésiter que je répondrais : "Ma maman". C'est à elle que je dois tout, c'est la seule qui n'ait jamais cessé de me tenir la main, de croire en moi, de me guider vers le meilleur chemin possible. Et si l'on me demandait ce que je regrette le plus dans la vie, je répondrais : "Toutes les fois où je lui ai fais de la peine, où je l'ai déçue et où je l'ai mise en colère, et ce même sans le vouloir". J'aimerais lui dire, à ma maman, que personne sur Terre n'a plus d'importance qu'elle. Sans elle, j'aurais certainement fait un tas d'erreurs irréparables, j'aurais manqué d'amour, de repères, je n'aurais pas su sur qui m'appuyer lorsque tout allait de travers, je n'aurais pas eu la certitude que quelqu'un m'aimerait quoi que je fasse, sans conditions. Oui, parce qu'une maman c'est avant tout une montagne d'amour. Elle t'aime malade, petit, grand, différent, de mauvaise humeur, en prison, quand tu te trompes, défiguré... Tout le temps. Chaque geste, chaque mot, chaque acte que fait une mère ne repose que sur de l'amour et a pour unique but notre bonheur, même si on ne le voit pas toujours. Alors merci maman, d'être celle que tu es, de m'avoir épaulé et soutenue dans chaque moment de mon existence, merci d'avoir pardonné chacune de mes erreurs et bêtises, de m'avoir appris les valeurs fondamentales de la vie, merci d'avoir été un merveilleux exemple.

Posté par OphelieSegarra à 14:24 - Commentaires […] - Permalien [#]

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